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La Nef est invitée aux États-Unis par des catholiques américains qui la connaissent et l’apprécient : Christophe Geffroy y rencontre l’évêque de Los Angeles, président de la Conférence épiscopale américaine, et plusieurs grandes figures intellectuelles catholiques
n° 324
En décembre 1990, un jeune ingénieur quitte son travail dans l’industrie automobile, pour fonder une revue catholique, dans une Église abîmée et fracturée par la rupture de Mgr Lefebvre avec Rome. L’intuition de Christophe Geffroy tient presque toute entière dans la devise du journal : « il y a de nombreuses demeures dans la maison de mon Père ». L’Église traverse une crise profonde, ses rangs sont divisés, sa vision des choses est contestée dans la société : raison de plus pour réfléchir et discuter, pour remplir notre mission de laïc, pour créer des ponts au sein de l’Église entre le monde traditionaliste resté fidèle à Rome et le reste de l’Église, pour faire entendre une voix catholique dans le débat public. La Nef est née. Depuis, elle a grandi, s’est développée, et a trouvé sa place dans le monde ecclésial et intellectuel. Trente après la fondation, Christophe Geffroy est rejoint par sa fille Elisabeth, normalienne agrégée de philosophie : ils s’y consacrent tous deux à plein temps.
En décembre 1990, un jeune ingénieur quitte son travail dans l’industrie automobile, pour fonder une revue catholique, dans une Église abîmée et fracturée par la rupture de Mgr Lefebvre avec Rome. L’intuition de Christophe Geffroy tient presque toute entière dans la devise du journal : « il y a de nombreuses demeures dans la maison de mon Père ». L’Église traverse une crise profonde, ses rangs sont divisés, sa vision des choses est contestée dans la société : raison de plus pour réfléchir et discuter, pour remplir notre mission de laïc, pour créer des ponts au sein de l’Église entre le monde traditionaliste resté fidèle à Rome et le reste de l’Église, pour faire entendre une voix catholique dans le débat public. La Nef est née. Depuis, elle a grandi, s’est développée, et a trouvé sa place dans le monde ecclésial et intellectuel. Trente après la fondation, Christophe Geffroy est rejoint par sa fille Elisabeth, normalienne agrégée de philosophie : ils s’y consacrent tous deux à plein temps.
La Nef est un mensuel papier (et numérique) de 48 pages, qui traite tous les mois de sujets d’Église, des actualités religieuses et politiques, et de sujets culturels plus larges (philosophie, littérature, histoire…). Elle le fait en portant sur le monde un regard plein de l’espérance chrétienne, une vision inspirée par la doctrine sociale de l’Église, en aimant profondément le débat et en assumant une exigence intellectuelle forte, acceptant de creuser et de bien développer les thèmes abordés, tout en revendiquant d’être lisible par tous.
Comme son nom l’indique, La Nef est une revue tenue par des laïcs, qui s’attachent à en faire un espace de liberté et de réflexion, dans lequel peuvent s’exprimer des intellectuels, catholiques ou non, des figures institutionnelles de l’Église (évêques, pères abbés, prêtres…) et bien d’autres plumes. Elle est un lieu de débat courtois et ouvert, de réflexion exigeante, d’analyse du monde, tout en assumant un ancrage clair, à savoir sa ligne de fidélité à Rome, au Magistère et à l’enseignement de l’Église, et sa volonté d’être artisan de paix. Les chrétiens ont plus que jamais besoin d’être formés et de nourrir leur intelligence : La Nef s’efforce de prendre sa modeste part à cette ambition.
La Nef est une voix et une présence catholique dans l’espace intellectuel français : elle fait exister la voix catholique dans le débat public, en assumant son identité et ses convictions catholiques, mais en se gardant des caricatures et de la pensée préfabriquée. Elle assume jusqu’au bout sa foi et sa morale, sa vision du monde, mais tout en restant une voix audible et crédible, car soucieuse d’une argumentation solide et d’une pensée honnête. C’est donc une revue dans laquelle des intellectuels de premier plan ne craignent pas d’intervenir, et où l’Église et des figures intellectuelles du pays peuvent échanger et se rencontrer. Et quand un débat s’esquisse, elle n’hésite pas à faire entendre sa voix singulière et originale.